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Vie de livres

Dis moi qui tu hantes

dismoiquituhantes

 

Résumé :

Rationaliste convaincu, David Ash ne croit pas aux fantômes. Il s’est même fait une spécialité de démasquer les faux médiums et trouve invariablement des causes naturelles aux prétendus phénomènes paranormaux.

Mais un véritable mystère plane sur la vieille demeure d’Edbrook. Pour la première fois, Ash se heurte. Pour la première fois ? ou bien cet acharnement qu’il met à réfuter tout ce qui relève du surnaturel ne cacherait il pas autre chose ? Quelque chose que, depuis l’enfance, il cherche déses pérément à oublier, quelque chose qui hante toujours ses cauchemars…

 

Mon opinion :

Amateurs de ghost stories, si vous n’avez pas lu ce livre…vous devez le faire. Avec un style qui n’appartient qu’à lui, très simple , très fluide,  James Herbert nous livre ici une histoire absolument géniale. Difficile d’en parler sans la déflorer. On dira simplement que le thème le plus banal du fantastique devient  la clé de voute d’un récit magistral mis en valeur par sa faible longueur, environ 250 pages. Un récit plus long aurait probablement brisé l’intensité  de l’aventure que vit David Ash.

Histoire tour à tour fantastique puis horrifique, teintée de folie dévastatrice, le lecteur ne peut qu’être accroché.  Alors amateurs de fantastique, si vous commencez ce livre un soir, saisissez vous d’un sandwich et d’une tasse de café, parce que vous ne pourrez pas vous arrêtez avant la fin, et la nuit va être délicieusement effrayante.

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